Nuisances sonores. La Ville à l’écoute

Publié le 14 février 2019 à 17h52 Modifié le 15 février 2019 à 13h54
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Des Rafale et des ailes. Plein les yeux

Le Télégramme
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    Armel Le Cléac’h, un des parrains du meeting, comme un poisson dans l’eau au milieu des pilotes.
    Armel Le Cléac’h, un des parrains du meeting, comme un poisson dans l’eau au milieu des pilotes.
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    Après leur dernière démonstration de la journée, les Rafale rentrent au parking, accueillis par le public.
    Après leur dernière démonstration de la journée, les Rafale rentrent au parking, accueillis par le public.
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    L’hélicoptère NH 90 est venu saluer de très près le public après son évolution au-dessus de l’aéroport de Morlaix.
    L’hélicoptère NH 90 est venu saluer de très près le public après son évolution au-dessus de l’aéroport de Morlaix.
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    Les pilotes de Rafale, de vrais virtuoses.
    Les pilotes de Rafale, de vrais virtuoses.
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    Des Rafale et d’autres avions comme ce North American T6 en pleine évolution.
    Des Rafale et d’autres avions comme ce North American T6 en pleine évolution.
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    Aile dans aile et maîtrise totale des pilotes pour un exercice délicat.
    Aile dans aile et maîtrise totale des pilotes pour un exercice délicat.
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    Les téléobjectifs étaient de sortie.
    Les téléobjectifs étaient de sortie.
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    Le Noth American T6 a fait sensation.
    Le Noth American T6 a fait sensation.
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    Figure acrobatique en fumée dans le ciel Morlaisien.
    Figure acrobatique en fumée dans le ciel Morlaisien.
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    Armel Le Cléac’h, un des parrains du meeting, comme un poisson dans l’eau au milieu des pilotes.
    Armel Le Cléac’h, un des parrains du meeting, comme un poisson dans l’eau au milieu des pilotes.
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    Après leur dernière démonstration de la journée, les Rafale rentrent au parking, accueillis par le public.
    Après leur dernière démonstration de la journée, les Rafale rentrent au parking, accueillis par le public.
 

Le meeting aérien « Des Rafale et des ailes » a fait le plein de spectateurs, ce samedi 28 septembre. Dès midi, les présentations en vol ont fait sensation et évidemment les Rafale ont impressionné le public massé derrière les barrières.

 
 

Ballet aérien chronométré à la minute près

 

Mais les autres aéronefs qui ont évolué dans le ciel se sont aussi taillé un beau succès comme les Morane Saulnier, les Cap 10, le North American T6, l’hélicoptère NH90 ou encore la patrouille Condor Acier de la Marine nationale. Un défilé incessant de démonstrations chronométré à la minute près.

Les parrains du meeting, Armel Le Cléac’h, le marin, et Ramon Josa, le pilote, ont parcouru les stands des exposants en consacrant du temps aux demandeurs d’autographes tout en admirant les exercices présentés dans le ciel morlaisien. À 17 h, les Rafale ont fait une dernière démonstration applaudie par le public ravi.

 

Encore des démonstrations ce dimanche

 

Le meeting se poursuit ce dimanche avec un programme quasi identique à celui de ce samedi. Les portes ouvriront à 10 h ; des milliers de spectateurs sont encore attendus.


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S'ils  aiment ça  on pourrait délocaliser les ASSP (appontages simulés sur piste )vers l'aéroport de Morlaix Ploujean.

Plougonvelin. Un avion de chasse sème le trouble

 

 

Le Télégramme

Un avion de chasse en manœuvre ce samedi à proximité du Trez-Hir, à Plougonvelin, a suscité la frayeur de plusieurs habitants, en « volant très bas » et « très près des maisons ».

« Je n’ai jamais vu ça. Pourtant, des avions en manœuvre au-dessus de la mer, on en voit souvent ». Quelques minutes seulement après « avoir entendu un énorme bruit » l’ayant fait sortir de chez lui, ce samedi vers 14 h 30, cet habitant du Trez-Hir relate les faits dont il a été témoin. « Une fois dehors, j’ai vu l’avion remonter, puis faire un demi-tour la tête à l’envers, puis redescendre en piqué. C’est là qu’il est passé très près des maisons. Je n’ai jamais entendu un bruit aussi fort… », explique ce riverain, qui évalue à « peut-être cent mètres » la distance à laquelle s’est rapproché l’avion des habitations. « C’est très étrange, et assez impressionnant aussi, de voir un avion passer aussi près », poursuit cet homme, qui n’a toutefois « pas pensé » au récent crash de Pluvigner lorsqu’il est sorti de chez lui.

Contactés, les services de la Préfecture maritime indiquent pourtant « qu’aucun exercice n’était prévu à cet endroit et à ce moment-là » au départ des bases de Landivisiau ou de Lanvéoc. Ne reste que la tenue d’un meeting aérien non loin de là, à Morlaix-Ploujean (« Des Rafale et des ailes ») pour expliquer la manœuvre…

 

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Vol au-dessus de Brest. C’était un Rafale Marine en entraînement

Publié le 20 septembre 2019 à 16h07 Modifié le 20 septembre 2019 à 16h06

Le Télégramme 

Habituellement, les avions de chasse de Landivisiau nous gratifient d’un ou deux passages furtifs, le plus souvent à moyenne altitude, seuls ou à deux appareils. Mardi, en fin d’après-midi, un Rafale de la Marine nationale s’est illustré bien plus longtemps qu’à l’accoutumée dans le secteur de Brest. Pendant plusieurs minutes, l’appareil a enchaîné des évolutions qui ne sont pas passées inaperçues, sur le plan visuel et sonore. Interrogé à ce sujet, le service de communication de la préfecture confirme qu’il s’agissait bien d’un Rafale Marine, parti de Landivisiau et en entraînement dans le secteur de la pointe bretonne. « Il était en entraînement à la démonstration aérienne », confirme-t-on, sans donner davantage de détails sur la nature exacte et la durée d’évolution de l’avion de chasse.

La semaine de la rentrée des classes, deux appareils n’étaient pas passés inaperçus non plus, évoluant à faible altitude et grande vitesse dans le secteur de Daoulas et au-dessus des monts d’Arrée, surprenant automobilistes et personnes âgées dans leurs habitations.


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                                                                                        SAINT DERRIEN   Le 14/01/2019

Association des riverains
De la BAN Landivisiau
1 Lot Kerhoant
29440 Saint Derrien
Contact :contact@riverains-ban-29.fr
Site : www.riverains-ban-29.fr

                                                                                            Monsieur Pascal LELARGE
                                                                                            Préfet du Finistère
                                                                                            42,boulevard Dupleix
                                                                                            29430 QUIMPER CEDEX



OBJET
Recours gracieux



Monsieur le Préfet,                                                                                                                                                        

                                                                                         

 

 

           Riverain de la base aéronavale de Landivisiau, webmaster et chargé de la partie juridique de l’ »Association des Riverains de la BAN », je suis mandaté à ce titre, pour vous demander de faire procéder à la délocalisation totale des ASSP (appontage simulé sur piste).

Il est inacceptable que la population riveraine soit soumise à un tel vacarme: en ASSP  les avions volent à moins de 200 m d'altitude.

          À ce bruit et à la pollution atmosphérique provoqués par ces avions, s'ajoutent des risques de crashs qui entraîneraient une catastrophe humaine, d’autant que ces engins survolent de nombreuses habitations ainsi que des écoles.

          La France est le seul pays au monde à exercer des vols d’entraînement au-dessus d’une zone très peuplée.



Veuillez agréer, Monsieur le Préfet, l’expression de mes sentiments respectueux.

 

 

Président de l'association                                         le Webmaster chargé de la partie juridique
 Louis Elégoët                                                                membre du bureau de l’association
                                                                                                        Daniel Davesne  

                                                                          

 

Rafale : les décibels de l’exportation

 

La formation de certains pilotes des clients exports du Rafale va se faire directement depuis l'aéroport de Bordeaux Mérignac, où sont assemblés les avions. Les autorités prennent soin de déminer la question des nuisances sonores, tandis que les riverains se méfient maintenant des succès commerciaux du chasseur français ... 

 

 

 

https://www.aerobuzz.fr/defense/rafale-les-decibels-de-lexportation/

 

 

 

Le  19/10/2018

 

Suite aux A.S.S.P.(appontages simulés sur piste) particulièrement bruyants

 

de la semaine dernière, des membres du bureau de l'association des riverains ont,un moment, bloqué

 

la sortie de la BAN. Après quoi, le Commandant a reçu une délégation de riverains.

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LGV. Le blues des riverains « oubliés »

 Publié le 19 mars 2018 

image: http://www.letelegramme.fr/images/2018/03/19/manifestation-de-riverains-en-colere-contre-les-nuisances_3861454_480x330p.jpg?v=1

Manifestation de riverains en colère contre les nuisances sonores induites par la LGV entre Le Mans et Rennes, samedi dernier, à Savigné-l'Évêque (Sarthe).

Maisons dépréciées, gîtes désertés, habitants dépressifs... Les riverains se vivent comme les grands « oubliés » des nouvelles lignes à grande vitesse (LGV), dont ils subissent le bruit strident et les vibrations, sans jamais en profiter. 

Danièle et Michel Jégou, 68 et 67 ans, sont venus s'installer dans la petite commune de La Cropte (Mayenne), en 1974, « parce qu'on aimait la nature », raconte-t-elle. Ils y ont rénové une jolie ferme en pierres, avec poules et chevaux, et ont planté un vaste verger. « On s'est privé de vacances pour bricoler dans notre maison. Notre objectif, c'était d'y passer des jours paisibles et heureux à la retraite », explique Danièle. Mais l'inauguration, en juillet 2017, de la LGV Le Mans-Rennes, qui passe à 200 mètres de chez eux, a brisé leur rêve. « On a l'impression d'être sur le tarmac d'un aéroport. On ne peut plus dormir comme avant. Ça nous arrive d'être obligés de partir parce qu'on ne supporte plus », décrit Danièle, qui ne prend jamais le train.
 

« Vraiment infernal »


Comme eux, ils sont des centaines sur cette ligne, comme sur celle qui relie Tours à Bordeaux, à se plaindre de nuisances sonores insupportables au quotidien. « C'est vraiment infernal », rapporte Jean-Luc Vasse, 63 ans, installé à Gauriaguet (Gironde), le long de la ligne Tours-Bordeaux. Inquiet pour les habitants « dépressifs » de sa commune, Michel Briffault (DVG), maire de Coulans-sur-Gée (Sarthe), a même fait « un signalement pour risque suicidaire » à l'Agence régionale de santé. « C'est plus possible d'encaisser tout ça », s'emporte Odile Picouleau, retraitée de 70 ans à La Bazoge (Sarthe), qui voit passer plus de 80 trains par jour devant chez elle. Sa fille trisomique, Anahid, 37 ans, « ne supporte plus : elle a les nerfs à fleur de peau et devient agressive », ajoute-t-elle. À Cesson-Sévigné, près de Rennes, « ma femme prend un casque anti-bruit pour ramasser les haricots », raconte aussi Edgard Blot, 70 ans.


 

« On nous a trompés »


Merlons, murs anti-bruit, ligne enterrée... Annoncés lors de la présentation du projet, beaucoup d'ouvrages de protection contre les nuisances sonores n'ont finalement pas été réalisés, selon les riverains. « On nous avait dit : le train, vous ne le verrez pas, vous ne l'entendrez pas », se souvient Michel Jégou. « On nous a trompés, on nous a roulés dans la farine ! » Contacté, Eiffage Rail Express (ERE), gestionnaire de la LGV Le Mans-Rennes, n'a pas souhaité répondre. Face à la colère des riverains, ERE et Lisea (ligne Bordeaux-Tours) ont commandé une série de mesures acoustiques pour vérifier que la réglementation était bien respectée. Les résultats seront connus au printemps. Mais les habitants n'en attendent rien : la réglementation ne prend en effet pas en compte le bruit instantané d'un train, mais seulement une moyenne lissée sur la journée. Même avec une centaine de TGV par jour à 85 décibels chacun, la moyenne journalière serait ainsi conforme à la réglementation (moins de 60 décibels en journée), selon un document de SNCF Réseau.
 

« Des réactions pas illégitimes »


« Le bruit est brutal au moment du passage du train, ça génère des réactions qui ne sont pas illégitimes », reconnaît Patrick Leweurs, directeur du projet LGV Bretagne-Pays de la Loire chez SNCF Réseau. Courriers aux élus, réunions publiques, pétitions, manifestations : les « oubliés » de la LGV, comme ils s'appellent eux-mêmes, ne savent plus à quel saint se vouer. Beaucoup hésitent à se lancer dans une procédure judiciaire longue et coûteuse pour obtenir réparation. Et certains en sont à espérer une grève des cheminots massive et durable...


© Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/france/lgv-le-blues-des-riverains-oublies-19-03-2018-11891016.php#bMqVGg5DFXHe3rkZ.99

 

Des vols d'appontages simulés sur piste à la BAN

 Publié le 09 février 2018 

 

Tandis que le porte-avions Charles-de-Gaulle connaît son deuxième arrêt technique majeur (ATM2) dans le cadre de sa refonte à mi-vie, l'année 2018 marque la remontée en puissance du Groupe aérien embarqué. Ainsi, l'activité d'entraînement et de qualification se poursuit dans les flottilles de Rafale avant le retour à la mer du porte-avions Charles-de-Gaulle. Carrier Weeks, appontages simulés sur piste (ASSP), déploiement sur porte-avions américain pour campagne de qualifications, participation à des exercices majeurs ; toutes ces activités permettent aux pilotes et aux personnels des flottilles de chasse de garantir leur maintien opérationnel. Le prochain départ sur le porte-calons américain Bush nécessite, quant à lui, la réalisation de quelques vols d'ASSP sur la BAN entre les semaines 7 et 12, soit du 12 février au 23 mars.


http://www.letelegramme.fr/finistere/landivisiau/ban-des-vols-d-appontages-simules-sur-piste-a-la-ban-09-02-2018-11845543.php#xCJqKHALmumU1qgD.99

 

 

Le 25 octobre 2017- Rencontre à la BAN avec le nouveau Commandant de La Rivière.

Présents : Louis- Jean-Roger-Daniel-Ernest-Annie.

                  Le commandant et Mme Mounoury.

But annoncé par le commandant : échanger et faire connaissance.

Programme de la BAN :

  • Porte-avion en travaux jusqu’à l’été 2018 à Toulon. Ces travaux ont commencé en déc 2016, ce qui fait que la Ban a fonctionné  l’année 2017 + le premier semestre 2018 sans porte-avion.
  • Pendant cette période, les flottilles sont à Landivisiau. En 2017, les avions étaient engagés en Irak et en Syrie (bataille de Raqqa). Ils rentreront probablement à la fin de l’année.
  • Au premier semestre 2018, les avions participeront à des exercices à l’étranger (Espagne ?) et se rendront également aux USA .
  • En temps normal, les flottilles tournent (2 en mer et une sur base). En l’absence du PA  c’est l’inverse (2 sur base et une à l’extérieur). Normalement, le PA  devrait reprendre la mer à l’été 2018 mais des retards sont toujours possibles.
  • Préparation du programme d’embarquement :

 

  • Quelques périodes d’ASSP au premier semestre 2018. L’absence du porte-avion a empêché la formation des pilotes d’où la nécessité de périodes supplémentaires d’entrainement.

Le commandant s’engage à avertir des périodes d’entrainement qu’il peut déjà annoncer approximativement :

  • Fin nov / début dec (Carrier week) : durant 2 semaines, entrainement des officiers d’appontage sur une piste de PA dessinée au sol. On donne une heure précise de retour d’avion. Ce retour se fait principalement à 1500 pieds mais quelques-uns se feront à 600 pieds et il y aura également quelques ASSP.
  • Fin janvier / début février : 2 semaines à peu près similaires avec quelques passes d’ASSP (retour à 600 pieds)
  • Ensuite déplacement aux USA en Mars  (date à caler avec l’armée de l’air car besoin de ravitailleurs). Ces  exercices aux USA se passeront pour une partie à terre et une autre en mer. Les américains veulent venir ici assister à des séances d’ASSP  fin février.

A la question de Louis à savoir s’il y aurait une contrepartie aux exercices aux USA, le commandant certifie que non, les américains ne viendront pas s’entrainer ici.

 

Le commandant affirme que les pilotes affectés à Landi sont sensibilisés à l’environnement et que les pilotes extérieurs (égyptiens en ce moment, parfois armée de l’air)) reçoivent un briefing. Il répète que les pilotes ne respectant pas les directives de vol sont sanctionnés.

 

Question du contournement des bourgs et hameaux :

Le commandant explique que cela se fait au timing à partir du décollage et que suivant la charge de l’avion, la distance de décollage varie et induit des changements dans l’accélération pouvant influer sur l’amplitude du circuit (différence jusqu’à un km de distance grande différence au niveau du bruit).

 

  • Les entrainements se font beaucoup au-dessus de la mer, au large d’Ouessant, sur le massif central, dans le Cotentin où les avions volent à 250 pieds.
  • La prise en compte de l’environnement est réelle.
  • Utilisation du simulateur également.

Question : délocalisation annulée vers Orange en septembre : Oui effectivement il était prévu qu’une flottille aille à Orange (pas ASSP) ; cela a été annulé pour manque de capacité d’accueil. Une délocalisation nécessite l’hébergement de 150 personnes au moins (logements, véhicules …)

Automne 2018 : ASSP

Délocalisations prévues.

Istres ? La plateforme est prévue dans les travaux actuellement en cours à Istres pour recevoir un nouvel avion Airbus ravitailleur MRTT. Le commandant confirme que l’empreinte terrestre est beaucoup plus importante à Istres et que tout peut se faire au-dessus de la base.

Ernest souligne la contradiction d’avoir le porte-avion à Toulon et la base d’entrainement ici.

Réponse : Choix politiques (fermetures de Nîmes et Hyères)

Aujourd’hui il y a 3 flottilles sur la base dont une sans bâtiment (bâtiment venant d’Algérie, en très mauvais état). Construction d’un nouveau bâtiment prévue ce qui prouve l’intention de maintenir l’activité à Landivisiau.

Il est cependant rare d’avoir tous les avions ici en même temps.

Le commandant nous fait part de son attachement à privilégier les communes riveraines, bien conscient que la seule commune à « profiter » économiquement de la BAN est Landivisiau. Il s’attachera dans la mesure de ses moyens (marge de manœuvre limitée) à privilégier les entreprises locales, le prêt de matériel …etc.

 

Questions précises :

  • Vols le week-end

Ils sont occasionnés par des représentations demandées à la BAN pour des meetings, commémorations etc. (Morlaix…).

Le commandant s’engage à prévenir de ces manifestations qui devraient se raréfier en hiver.

  • La pause méridienne

Pas de décollage sauf en cas d’impératif militaire. Les pilotes doivent en référer personnellement au commandant durant cette plage horaire et ne peuvent décoller sans son autorisation.

A la demande de ne pas faire d’atterrissage, le commandant affirme que, les vols fonctionnant par blocs (préparation…), il est impossible de caler 2 blocs dans la demi-journée sans empiéter sur la pause méridienne à moins de décaler les vols très tôt ou très tard.

  • Le commandant s’engage à prévenir des vols quand il le pourra (sauf secret militaire) ; la gêne sonore le week-end sera toujours très ponctuelle.

 

  • Les appels des riverains

Louis rappelle l’importance d’être entendu et d’avoir une écoute bienveillante.

Normalement, le personnel est sensibilisé à cette question et formé à répondre de façon bienveillante.

 Le commandant explique qu’étant donné le climat actuel, les militaires ne peuvent pas donner leur nom. Ils ne peuvent plus s’afficher en tant que militaires sur les réseaux sociaux. Seul le nom du commandant peut être cité dans la presse.

« L’avenir de la BAN passe par une entente avec les riverains »

  • Le PEB

A sa connaissance, statu quo étant donné les remaniements ministériels (défense et écologie).

Le commandant rappelle qu’il n’est pas acteur central de cette question, qu’il ne signe pas le PEB.

  • Système automatique d’appontage : choix des américains mais qui n’a pas réduit les entraînements.

Le choix des français est d’apporter une aide supplémentaire au pilote sans le suppléer.

Drones : France en retard par rapport aux américains.

 

 

  • Qualité de l’air : le commandant appuiera notre demande d’explication des diagrammes de l’étude. Nous reprécisons notre demande : avoir une lecture claire de l’impact des temps précis d’ASSP  (et non sur 24 h). Il faudrait zoomer les diagrammes sur ces temps précis d’activité.

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Commentaires

  • Dan (samedi, 12. août 2017 11:18)

    Tout à fait d’accord! qu’on confisque l’objet du délit !!! encore ne fois, il s’agit de discrimination car nous ne sommes pas logés à la même enseigne que le reste des français.

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Que fait-on pour les riverains de la BAN Landivisiau qui, lors des appontages simulés, sont obligés de supporter des passages de Rafale, ( Jusqu'à 300 par jour) dépassant les 120 dB !..

 

 

Décibels. Discothèques et festivals vont baisser le son

Publié le 11 août 2017

 

Le Télégramme

1 Voir les commentairhttp://www.letelegramme.fr/images/2017/08/11/decibels-discotheques-et-festivals-vont-baisser-le-son_3557620_299x330p.jpg?v=1

 

Discothèques, salles de concert et festivals vont devoir baisser un peu les décibels pour « protéger l'audition du public », en vertu d'une nouvelle réglementation dont l'application représentera, toutefois, un « gros défi », selon les acteurs du secteur.

Son moins fort, mais aussi bouchons d'oreilles gratuits, zones de « repos auditif »... Un décret publié, mercredi, détaille les nouvelles obligations qui s'imposeront, d'ici un an, à tous les lieux qui diffusent de la musique amplifiée. Ces mesures découlent d'un article de la loi Santé de janvier 2016, qui dispose que les activités « impliquant la diffusion de sons à un niveau sonore élevé » doivent être exercées « de façon à protéger l'audition du public et la santé des riverains ». Parmi les nouvelles dispositions, le niveau sonore dans les lieux concernés ne pourra plus dépasser 102 décibels, en moyenne mesurée sur 15 minutes. La limite était fixée, depuis 1998, à 105 décibels dans les discothèques et les salles de concerts, tandis que les événements en plein air n'étaient jusqu'ici pas concernés. Une différence sensible, car l'échelle des décibels n'est pas linéaire : retirer trois décibels correspond à diviser l'intensité sonore par deux. Si cela ne devrait pas poser de difficulté dans les discothèques, c'est « beaucoup plus complexe » pour les concerts, note Angélique Duchemin, coordinatrice nationale d'Agi-son, structure créée par les acteurs du spectacle vivant pour servir d'interface sur ces sujets avec les pouvoirs publics. C'est surtout dans les petites salles que ça va poser problème, estime Joseph Gatineau, ingénieur du son, notamment pour le groupe Radio Elvis. « Avec la batterie seule, on peut déjà être à 101 décibels », explique-t-il. « Moi je ne peux faire que plus fort, je ne peux pas faire moins fort », confirme Matthieu Rendu, ingénieur de Yuri Buenaventura, dont l'orchestre compte des percussions et des cuivres produisant déjà un volume « extrêmement fort » sans amplification. « Et un public qui applaudit, qui hurle, ça va au-delà de cette limite » de 102 décibels, ajoute-t-il.

 

Une limite à 94 décibels pour les

jeunes enfants



Autre nouveauté : une limite à 94 décibels est fixée lorsque le public visé est constitué d'enfants jusqu'à six ans. Pour faire respecter ces plafonds, les endroits concernés devront afficher en continu le niveau sonore, l'enregistrer et tenir ces enregistrements à disposition, en cas de contrôle. Des « contraintes assez fortes » qui impliquent « des coûts supplémentaires » d'équipement pour les exploitants de salles et les entrepreneurs du spectacle, selon Angélique Duchemin. Le décret comporte aussi plusieurs mesures de prévention : les lieux concernés devront « informer le public sur les risques auditifs », « mettre à disposition du public à titre gratuit des protections auditives » du type bouchons d'oreilles, et « créer des zones de repos auditif ou, à défaut, ménager des périodes de repos auditif » durant lesquelles le niveau sonore ne dépassera pas 80 décibels. Créer de telles zones sera, là aussi, « compliqué » dans les petites salles ou les festivals, souligne Angélique Duchemin, qui se réjouit que l'alternative de « périodes de repos » ait été retenue.

« Études d'impact » en plein air



Les organisateurs d'événements en plein air devront également effectuer des « études d'impact » pour évaluer l'effet du bruit sur le voisinage. Les sanctions encourues, en cas d'infraction, restent une contravention de 1.500 euros (3.000 en cas de récidive) et la confiscation du matériel de sonorisation. Selon le Centre d'information et de documentation sur le bruit, « notre oreille commence à souffrir, sans que nous le sachions, à partir d'une exposition à 85 décibels pendant huit heures », tandis que le seuil de la douleur correspond à 100 décibels. En France, six à huit millions de personnes seraient touchées par des problèmes d'audition.

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Il faut porter plainte, la base risque entre 1500 et 3000 € d'amende avec confiscation des Rafale !...

 

Cet appel d'offres, paru dans le Télégramme, peut donner à entendre que de nouveaux avions s'apprêteraient à intégrer la BAN de Landivisiau.

Il n'en est rien. Les Rafale sont déjà là. Les constructions prévues suivent leur venue.

 

Révision du Plan d'Exposition au Bruit de l'aérodrome de Lann Bihoué

Article créé le 21/10/2016 Mis à jour le 17/02/2017

 

L'enquête publique sur le projet de révision du plan d'exposition au bruit (PEB) de l'aérodrome de Lann-Bihoué, s'est déroulée du lundi 24 octobre 2016 au vendredi 9 décembre 2016 inclus, en application de l'arrêté préfectoral du 5 octobre 2016 et conformément aux dispositions des articles L.123-1 à L.123-16 du Code de l’Environnement sur les communes de Caudan, Guidel, Hennebont, Lanester, Lorient, Plœmeur, Quéven.

Le plan d'exposition au bruit tend à réglementer l'urbanisme au voisinage de l'aérodrome en maitrisant l'urbanisation dans les zones de bruit de l'aérodrome. Le PEB approuvé sera annexé au document d'urbanisme de chaque commune concernée.

Vous pouvez consulter le rapport, l'avis et les conclusions de la commission d'enquête en téléchargeant les documents ci-dessous 

Avis_conclusion.pdf
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Résultats enquête publique Lann Bihoué

    Mise à jour le 10/03/2017).

La commission d'enquête du P.E.B. (Plan d'Exposition aux bruits) a rendu ses conclusions (http://www.morbihan.gouv.fr/Publications/Enquetes-publiques/LORIENT/Revision-du-PEB-de-l-aerodrome-de-Lann-Bihoue)En bref :

-L'adresse mail : ddm-peblannbihoue@morbihan.gouv.fr pour déposer les remarques n'a pas fonctionnée durant les 3/4 de la durée de l'enquête (et pour cause, il manquait un t à ddtm, correction seulement en début Décembre 2016). rendant impossible toute remarque par internet des personnes ne pouvant se déplacer.

-La zone D n'a pas été retenue : la commission a soutenu les collectivités et les conclusions de la CCE, mais à reporté la responsabilité d'information sur les mairies. Dans notre déception sur le souhait de cette zone D, il y a un point positif : le particulier s'installant n'étant pas informé, pourra se retourner contre la mairie pour défaut d'information obligatoire.

-Ainsi hors zones du P.E.B. la mise en place de dispositif d'insonorisation n'est donc pas obligatoire par les mairies. Mais c'est un point qui pourra entrer dans la Charte et discuté en CCE : la commission incitant les mairies à la mise en place d'un dispositf d'accompagnement d'isolation acoustique et d'information.

-La CBS : Carte du Bruit Stratégique ne tenait pas compte de l'ancien PEB car les indices étaient différents. Le PEB s'il est avalisé, devra être intégré dans ce document, car les indices sont normalisés.

-La commission d'enquête incite, par deux fois, à la révision de la Charte et à l'étude des bruits au sol : C'est une reconnaissance officielle de l'importance et de l'évolution de cet unique document environnemental.

http://www.morbihan.gouv.fr/Publications/Enquetes-publiques/LORIENT/Revision-du-PEB-de-l-aerodrome-de-Lann-Bihoue

A LA UNE

Toulouse, le 16 février 2017

Communiqué

Et la pollution des avions dans tout ça ?

La Commission européenne vient d’adresser "un dernier avertissement à l’Allemagne, à la France, à l’Espagne, à l’Italie et au Royaume-Uni au motif que ces pays n’ont pas remédié aux infractions répétées aux limites en matière de pollution atmosphérique fixées pour le dioxyde d’azote (NO2) [1]". Le texte poursuit "La pollution par le NO2 constitue une grave menace pour la santé. La plupart des émissions proviennent de la circulation routière".

Or, les riverains d’aéroports et les populations survolées, en France fédérés en associations locales, régionales (ACENAS, ADVOCNAR, CORIAS, DRAPO, etc.) ou nationales comme l’UFCNA et européennes comme l’UECNA, grâce aux experts qui en sont membres, font le constat régulier d’une augmentation de la pollution due aux NO2 autour des aéroports ; chacun sait que l’avion fonctionne au kérosène qui s’apparente au gasoil ; les émissions des avions(NO2 et les particules ultra fines) sont similaires aux émissions du diesel ; Air France lui-même dit " : les améliorations technologiques ayant permis la réduction du CO2 et celle du bruit, ont en revanche, fait apparaître une plus grande quantité de NOx. Aujourd’hui, le compromis à trouver entre CO2, bruit et NOx est un des challenges de l’industrie aéronautique".

AIRPARIF, qui déclare impossible la discrimination entre la pollution due au trafic routier et celle due à l’aérien, a cependant enregistré des niveaux de pollution aux suies bien supérieures à Gonesse, (située près de Roissy Charles de Gaulle à 14 km du périphérique) qu’à Bobigny (à 4 km du périphérique).

Le trafic routier n’augmente pas comme le trafic aérien, et l’industrie automobile a préparé sa conversion (plus de voitures électriques, moteurs plus propres…). Le Blue HD [2] qui équipe la plupart des nouveaux moteurs diesel réduit considérablement les émissions d’oxydes d’azote.

Il n’y a malheureusement aucune technologie comparable sur les moteurs d’avions.
Le lobby aérien, lors du Grenelle de l’Environnement, avait promis de réduire de 80% des oxydes d’azote pour 2020 [3]. A quelques années de cette échéance, la pollution due au trafic aérien produite par les aéroports , aérodromes et hélistations continue sa progression [4].

L’UFCNA dénonce l’absence, dans la liste des pollueurs chroniques et en augmentation constante, du transport aérien qui, en lobby puissant, minimise l’importance de son impact sur la planète et tente d’en convaincre les autorités ici et ailleurs.

Contact : Chantal Beer-Demander (UFCNA) 06 25 43 22 33
Françoise Brochot ( ADVOCNAR) 06 79 51 25 6

Le Centre d’Information de Documentation sur le Bruit espère que le nouveau Ministre placera la thématique du bruit au cœur de ses préoccupations et agira en faveur de la qualité de l’environnement sonore pour la santé et le bien-être de tous.

http://www.bruit.fr/nicolas-hulot-ministre-detat-ministre-de-la-transition-ecologique-et-solidaire.html

Carhaix. Rassemblement contre les manœuvres militaires de l'Otan dimanche

Publié le 23 mai 2017 à 16h49

Le Télégramme

Le Mouvement de la paix appelle à un rassemblement dimanche, à 11 h 30, place des Droits-de-L'Homme, à Carhaix. L'objectif est de manifester contre les manoeuvres militaires de l'Otan prévues en Bretagne du 6 au 16 juin.

À lire sur le sujet

Ménez-Hom. L'Otan investit le site en juin

Les organisateurs réclament aussi que la France quitte l'Otan et "investisse pour la paix et le bien-être social, pas dans la guerre".

http://www.letelegramme.fr/local/editions/CX/carhaix-rassemblement-contre-les-manoeuvres-militaires-de-l-otan-dimanche-23-05-2017-11525143.ph

Ça va être infernal pour les riverains! préparez vos casques anti bruit et vos masques anti pollution OU

                FUYEz LA ZONE.

 

Édition 2017 de la Nato Tiger Meet

Publié le 13 mai 2017
 

Le Télégramme

Du 5 au 16 juin, la base aéronautique navale de Landivisiau accueillera l'exercice « Nato Tiger Meet », un événement ayant pour emblème le tigre et destiné aux seuls escadrons de l'Otan. Il est organisé pour la deuxième fois en dix ans par la onzième flottille de chasse embarquée de la Marine nationale.

Entraînement d'avions de chasse


Douze nations seront représentées lors de cet exercice tactique de haut niveau, devenu incontournable. Son objectif est de faire s'entraîner ensemble des pilotes de nationalités différentes lors d'exercices complexes, indispensables à toute coopération et interopérabilité entre nations en opérations sur le terrain. Durant quinze jours de missions, plus de 800 exercices et 1.200 heures de vol, 800 pilotes et techniciens des flottilles présentes vont mettre en oeuvre des situations tactiques d'une très grande complexité. Particularité cette année, l'aviation de chasse de la Marine nationale est composée, pour la première fois, exclusivement de Rafale Marine ; les Super Étendards Modernisés ayant été retirés du service actif durant l'été 2016.


http://www.letelegramme.fr/finistere/landivisiau/ban-edition-2017-de-la-nato-tiger-meet-13-05-2017-11511270.php

<< Nouvelle image avec texte >>

Notre président Louis Elégoët a écrit aux candidats à la présidentielle de 2017. Vous trouverez ci-dessous sa lettre.
À ce jour nous n'avons eu que deux réponses celles de Nathalie Arthaud et de Benoît Hamon !...
Les autres candidats nous auraient-ils dédaignés.
lettrereponsesprésidentielle2017.pdf
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LEBRUIT,DE L'INTERET NATIONALE A LA MORT DES COMMUNES
LA BASE AERONAUTIQUE NAVALE,MALEDICTION OU BENEDICTION? MEMOIRE L3
IMG_20170304_0005.pdf
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Compte rendu de l'assemblée générale du 3 février 2017
cprenduag03022017.pdf
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Communiqué de presse pour l'assemblée générale du 03 février 2017

Ces jours-ci, la presse locale nous rappelle que la BAN s'apprête à célébrer ses 50 ans. Sans rechercher bien sûr à glorifier cet événement, nous pouvons cependant en tirer des leçons. Pendant les 22 premières années de son histoire, la BAN n'a pas d'association de défenses des riverains. Résignés, ceux-ci se contentent de mettre en avant que           « l'armée a tous les droits ». Dans ce cadre, il n'était pas rare, dans les années 1980 encore, que des avions volent jusqu'à des deux ou trois heures du matin. Il y a deux ou trois ans, cette situation était encore réelle dans les zones riveraines qui ne disposaient pas d'association de défense. En février 1989, une délégation de riverains remettait une pétition signée par 700 personnes entre les mains du commandant de la BAN. Quelques mois plus tard, encore en 1989, une association de défense été créée à l'initiative de Monsieur Germain Potard.

 

Dès lors, des rencontres avec les autorités maritimes se succédaient, de même que des pétitions et manifestations. Il n'en reste pas moins qu'il faudra attendre les années 2000 avant que les relations avec les autorités maritimes ne deviennent plus vraies, plus fécondes. Les résultats sont liés aux personnalités des interlocuteurs et, plus précisément, aux qualités de contact, de compassion et d'empathie des officiers de marine. En mars 2012, tirant des leçons d'une manifestation des riverains contre la BAN, un journaliste aboutit à cette conclusion :    « les riverains sont victimes d'un déficit d'attention de la part des pouvoirs publics et des autorités militaires". Cette formule est à méditer.

 

Il n'échappera à personne que si les riverains ne supportent plus les nuisances qu'on leur inflige, ils sont encore davantage exaspérés par le mépris dont ils sont l'objet. En septembre dernier, quand les riverains subissaient jusqu'à six ou sept heures d'ASSP par jour, il n'y avait généralement personne pour écouter leurs doléances à la BAN ; et quand il y en avait, c'était pour faire entendre des propos moqueurs, du genre, ici le ministère de la défense. Nous demandons à être respectés et donc écoutés.

 

L'association des riverains vient d'installer deux panneaux aux abords immédiats de la BAN. L’un, placé à Lesveoc, en Saint Derrien, exprime notre refus des ASSP toujours plus bruyants et plus intolérables ; l'autre, situé au lieu-dit Bonne rencontre, en Plougar, demande qu'on en finisse avec le mépris dont nous sommes victimes.

Communiqué de presse du 27/01/2017 de «  l'association des riverains de la BAN Landivisiau ».

 

En fixant en terre, deux grands panneaux montés par des membres de » l'association des riverains de la BAN », notre objectif est de faire savoir aux autorités maritimes de la BAN que nous demandons un minimum de respect pour les riverains : ceux-ci  demandent à être considérés et non pas traités par le mépris.

Divers indices démontrent, s'il en est besoin, que l'attitude des autorités de la BAN à l'égard des riverains a changé depuis quelques mois. C'est ainsi que lors de notre rencontre du 29 août 2016 avec le commandant, celui-ci faisait savoir qu'il n'y avait guère de place pour la contestation, et que la BAN n'avait pas à mobiliser quelqu'un pour écouter les doléances des riverains, remettant par là en cause un principe régulièrement respecté depuis plus de 10 ans. Pendant ce temps, des riverains énervés ne trouvent au téléphone que des interlocuteurs se disant du ministère de la défense !

Tout ceci se déroule dans un vacarme inqualifiable, déchaînant chez les riverains une colère rarement atteinte, le paroxysme est à son comble le 6 septembre.

Il est évident que ce vacarme  ne peut continuer. Notre objectif n'est pas d'obtenir la fermeture de la BAN, cela dit, nous nous empressons d'ajouter que la population riveraine ne peut continuer à subir les nuisances que l'on connaît. Les autorités maritimes ont disposé de moyens permettant de réduire considérablement le bruit (aérodrome de Nîmes). Elles n'ont pas su conserver ce moyen, c'est leur affaire.

Mesurons l'altitude d'un avion en vol depuis le sol.

http://raiateabac.blogspot.fr/2013/09/mesurons-laltitude-dun-avion-en-vol.html

 

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Commentaires

  • Yves Sultan (samedi, 28. janvier 2017 19:38)

    J'habite à Plounevez Lochrist, à environ 500 m à pied de la Mairie et il n'est quasiment pas un jour où plusieurs Rafales passent au dessus de ma maison à une altitude variant entre 500 pieds (environ 170 m) et 1000 pieds (environ 300 m) en mettant la gomme pour reprendre de l'altitude.. Et l'été, pas question d'ouvrir les fenetres ou de profiter de son jardin. Quant aux vols de nuit, ça dure parfois jusqu'à minuit ! Ras le bol de ces militaires que nous payons avec nos impots et qui nous considerent comme quantité negligeable ou qui nous traitent par le mepris ! Je tiens à rappeler que je ne suis pas militaire,donc que je ne suis pas aux ordres du commandant de la BAN et que nous sommes en democratie,que la liberté d'expression est un droit et que ce monsieur n'a pas à m'interdire de dire ce que je pense ou de me denier le droit de contester.

Veuillez entrer le code.
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Sur France Bleu Breizh Izel. Quand "Respirer tue".

17 octobre, par Gérard Borvon

L’invité du dimanche de Michel Pagès le 16 octobre 2016 était Gérard Borvon pour son livre "Respirer tue"
Pour écouter l’émission où l’on parle de Plogoff, des débuts de l’écologie, de la pollution de l’air en Bretagne et ailleurs, du projet de centrale à Landivisiau, de l’agriculture biologique...
voir :
https://www.francebleu.fr/emissions/l-invite-du-dimanche-midi/breizh-izel/l-invite-du-dimanche-midi-du-dimanche-16-octobre-2016 

Lettre du président Louis Elégoët et réponse du commandant de la base.
Lettre du 30/06/2016
lettrereponce30052016.pdf
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BAN – On cherche des solutions
BAN.pdf
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BAN de Landivisiau. Nuisances sonores : les élus reçus par le commandant de la base

 

Le Télégramme

 

 

 

https://www.dailymotion.com/video/x28lozi

 

 

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